Ces photos du carnaval de Buenos Aires veulent restituer la force bruyante et primitive, étourdissante, l’énergie des danseuses et danseurs de murgas (troupes de carnaval représentant un quartier). Chaque image, rassemblant de nombreuses photos prises successivement, unifie un temps initialement discontinu, recompose un présent. De cette accumulation de fragments, de leur synergie, résulte l’image finale.